Le dev diary est une forme que j’aime particulièrement car elle réunit l’exigence esthétique de la publicité et le propos d’un documentaire.
En ce sens elle rejoint plusieurs de mes compétences que j’ai forgées au fil du temps, en somme l’héritage de mon passage par la presse de jeu vidéo (chroniques et documentaires), la publicité et la création de jeu vidéo indépendant.
Pour retranscrire l’univers sanglant de Frédérick Raynal on a opté pour une mise scène avec une installation d’écrans oppressante.
Le thème du jeu est très dur et malaisant, nous avons donc cherché une ambiance granuleuse, presque sale de sorte à plonger le spectateur dans le thème dès les premières secondes.